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🌊 Ce qui nous relie 🌍

Dernière mise à jour : 12 juin

En ce moment, la Conférence des Nations Unies sur l’Océan se tient à Nice, en France, jusqu’au 13 juin 2025.À cette occasion, j’ai pris le temps de replonger dans mes archives.Ces derniers mois, mes pas m’ont mené vers l’eau : Bretagne, Corse, Pays basque, Gironde, Sénégal, Floride… Des rivages différents, mais tous baignés par les mêmes courants, les mêmes marées, les mêmes océans.

Ces photos racontent ces instants passés au bord de l’eau.Elles parlent de lumière, de mouvement, d’horizon.Mais elles m’ont aussi rappelé à quel point ces paysages sont précieux — et fragiles.

Car si nous ne faisons rien, si nous laissons faire…



⚠️ Voici ce que nous risquons


– La disparition d’espèces marines, étouffées par la pollution ou victimes de la surpêche.

– Une pollution plastique incontrôlable, qui empoisonne la faune et les fonds marins.

– L’acidification des océans, qui détruit les coraux et bouleverse les écosystèmes.

– La montée du niveau des mers, qui menace des millions de vies sur les littoraux.

– Un effondrement de la pêche, privant des populations entières de leur subsistance.

– Et une perturbation du climat, car les océans sont les régulateurs essentiels de notre planète.


✅ Ce que nous pouvons faire, chacun à notre échelle


– Réduire notre usage du plastique à usage unique.

– Choisir des produits de la mer issus de la pêche durable.

– Éviter les produits polluants dans notre quotidien.

– Privilégier des produits et vêtements écoresponsables, notamment ceux qui limitent les microplastiques.

– Soutenir les acteurs locaux engagés dans la protection du littoral.

– Partager, sensibiliser, par nos mots, nos images, nos conversations.


Et puis, il y a ce que nous faisons dans notre métier.


👉 En tant que photographe de voyage, je dois parfois prendre l’avion ou parcourir de longues distances en van pour atteindre les lieux que je souhaite documenter. C’est un paradoxe que j’assume: aller là-bas pour témoigner d’un monde que l’on pourrait perdre.Mais autour de ces déplacements, je m’efforce de réduire mon impact :

– en optimisant chaque déplacement pour produire plusieurs séries

– en favorisant des hébergements éco-responsables

– en consommant local

– en valorisant les paysages naturels et ceux qui les protègent 

– en produisant des images durables, pensées pour sensibiliser, transmettre, durer dans le temps.


Les océans ne sont pas des frontières : ils sont des liens entre les mondes. Et même si personne n’est irréprochable, chaque geste compte.Chaque effort, chaque intention, chaque regard porté différemment peut contribuer à préserver ce que nous avons de plus vaste… et de plus vital.

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